Montréal à nouveau en tête de l’Index des villes sportives canadiennes en 2020

Montréal a été désignée « Ville sportive canadienne de l’année 2020 » pour la troisième année de l’Index des villes sportives du Canada (IVSC), un classement établi pour la première fois par l’Alliance canadienne du tourisme sportif (ACTS) en 2018.


L’IVSC est basé sur les championnats nationaux et les compétitions internationales tenus en 2019 ainsi que sur les manifestations nationales/internationales actuellement accordés pour 2020 et après. Les membres de l’ACTS, incluant les organismes de marketing de destination et les organismes nationaux de sport, ont rempli une feuille de travail en ligne en vue de soumettre les données à un examen et à une validation effectuée de façon indépendante.


L’index a été compilé avant l’annulation d’un nombre important de manifestations sportives en 2020 en raison de la pandémie de la COVID-19.


Montréal a pris la tête parmi les villes ayant une population de plus de 500 000, devant Québec qui maintient sa 2e position, suivie d’Edmonton qui demeure au 3e rang par rapport à 2019. Le progrès le plus important dans la catégorie des 500 K et + a été réalisé par Ottawa, qui a sauté de la 11e position en 2019 au 5e rang global en 2020.


Le but, en développant cet outil, est de permettre aux villes hôtesses de mieux comprendre l’impact qu’elles suscitent au moyen de leurs stratégies d’accueil de manifestations sportives.


Le tourisme sportif est un segment dynamique de l’industrie touristique au Canada, avec des dépenses annuelles de plus de 6,8 milliards de $ par les visiteurs canadiens et de l’étranger. L’annulation d’événements en 2020 aura un impact économique négatif majeur sur le pays, et la tenue de manifestations sportives constituera un élément clé des plans de relance post COVID-19.

Le monde du sport appelle à se bouger pour préparer le futur

L’univers du sport français, représenté par les sportifs, les décideurs, les dirigeants, les fabricants, les influenceurs, les partenaires, a décidé de faire paraître une tribune en pleine période de confinement afin d’expliquer pourquoi la crise du coronavirus – qui a mis à l’arrêt les sportifs professionnels et les sportifs amateurs – va obliger à changer la pratique du sport dans un futur proche.

Le confinement a permis de prendre conscience du besoin vital de bouger , et lorsque les activités pourront reprendre dans les stades, les parcs, les écoles, il faudra en avoir tiré certaines leçons. Le sport devra ainsi se réformer à tous les niveaux : du sport professionnel au sport de masse.
Extraits du texte de leur appel :

« …Femmes et hommes travaillant dans l’univers du sport, nous souhaitons ardemment qu’il y ait un avant et un après Covid-19.
…Nous prônons une croissance plus solidaire et responsable, respectueuse de notre planète et de ses habitants pour construire une société durable, plus juste, plus équitable et plus harmonieuse.

….Prendre le temps, c’est faire différemment, pas toujours plus mais faire mieux. Prendre le temps, c’est en consacrer plus à ses proches. Prendre le temps, c’est en donner davantage aux autres et œuvrer à l’intérêt général. Prendre le temps, c’est laisser sa voiture pour les courts trajets et marcher, pédaler, courir… Prendre le temps, c’est en offrir à ses salariés pour qu’ils pratiquent un sport.

….L’activité physique et sportive a été reconnue comme un besoin fondamental – quasi vital – par le gouvernement en étant intégrée dans la liste des sept motifs d’autorisation de sortie pendant la période de confinement. Cette reconnaissance pourrait représenter un tournant majeur pour la place du sport dans notre pays et ancrer durablement la pratique sportive dans la vie des Françaises et des Français.

Couplée à la perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024, cette crise sanitaire est une situation qui doit impérativement nous conduire à faire du sport un outil majeur dans la construction de cette nouvelle société.
Le sport constitue donc une des solutions mais il est aussi une partie du problème.

Le sport devra ainsi se réformer à tous les niveaux : du sport professionnel au sport de masse. Cette crise a mis en lumière les excès et la fragilité du modèle économique du sport professionnel et la nécessité d’une régulation plus globale, durable et véritablement responsable. De son côté, le mouvement sportif associatif doit urgemment faire sa mue et proposer une offre réellement adaptée aux besoins nouveaux de cette société durable. Ce nouveau modèle suppose aussi de revoir complètement la place du sport à l’école pour que la pratique d’une activité physique et sportive soit au cœur de l’éducation de nos enfants et ce, dès leur plus jeune âge.

Nous souhaitons lancer une plateforme mettant en avant et diffusant toutes les bonnes initiatives du sport pour inspirer et engager le plus de monde.
Alors retrouvez-nous sur www.lesportdapres.fr »

Cayenne et la naissance du Djokan

Le DJOKAN est un Art Martial complet qui nous vient de la Guyane Française. Il a été créé en 2010 par Grand Doko, c’est à dire le Fondateur, Yannick THEOLADE.
Le DJOKAN tire ses origines des pratiques guerrières, physiques, chamaniques, des danses guerrières traditionnelles, des us et coutumes des peuples d’Amazonie : les Amérindiens, premier peuple de la Guyane, les bushinengés autrefois esclaves africains fugitifs révoltés, qui ont fui dans les profondeurs de la forêt amazonienne, les Créoles, fruits du métissage des descendants des esclaves venus d’Afrique et des descendants des colons.
Yannick THEOLADE pratiquant les Arts Martiaux, décide d’entreprendre des recherches afin de redécouvrir les arts de combat d’Amazonie.
Il travaille en collaboration avec des chefs coutumiers, des chamanes, des ethnologues, des anthropologues, des historiens, des guerriers.
Gran Doko va se servir de ses compétences martiales pour créer une méthode, la codifier en fusionnant les différents arts de combats amazoniens des différentes ethnies.
Après plusieurs années de recherches le DJOKAN est né.

• « Djok » est un mot d’origine africaine qui signifie « éveillé, robuste, en bonne santé »
• « An » est une préposition signifiante « en » Djokan pourrait se traduire littéralement par » en éveil » ou « celui qui est éveillé ».

Le Djokan se veut le premier art martial guyanais. Fidèle aux traditions de la Guyane, il s’inspire de toutes les composantes de son incroyable vivier culturel. Car il est là le maître mot du Djokan : créer un pont entre une approche moderne et la tradition de savoirs guerriers d’Amazonie qui existent depuis des siècles, des coutumes ancestrales des peuples amérindiens, businengés ou créoles. D’ailleurs, la langue officielle du Djokan est le créole guyanais, une langue de rassemblement et d’identification commune à tous les habitants de la région. Les armes utilisées pour la pratique du Djokan sont aussi des armes locales. Lances amérindiennes, sarbacanes, massues bushinengées… Sans compter les techniques de santé issues également des traditions comme les bains à bases de plantes médicinales ou les massages. Reconnu par la Fédération Internationale des Arts Martiaux Traditionnels en octobre dernier, le Djokan connait un essor spectaculaire.
Il est un art martial basé sur la motricité, la fluidité et l’adaptabilité du corps et de l’esprit du pratiquant dans l’environnement dans lequel il évolue.
Il s’articule sur trois enseignements fondamentaux :
1/ Le « Goumen » : les techniques de combat à mains nue incluant les frappes, les clé, les projections, les immobilisations, les étranglements, le travail au sol, la self défense.
2/ Le « zanm-yan » : techniques de combat avec les armes traditionnelles (armes contondantes, armes tranchantes et armes de jets).
3/ Le « Djokaya » : les techniques de santé et de développement personnel (exercices de relaxation, de respiration, de méditation, de renforcement du corps et de l’esprit, le travail sur les énergies et les élément de la nature…).

Villes, espace public et pratique sportive

Les villes offrent de nombreuses possibilités d’exercice physique, de jeux et de sports, grâce à leurs équipements publics : les piscines, les terrains de sport, les pistes cyclables ou encore les espaces publics dédiés tels les parcs, omniprésents dans la plupart des villes.

Mais, actuellement, apparaissent de nouvelles tendances dans la conception des installations sportives urbaines avec l’utilisation d’espaces parfois inutilisables.

En effet, les villes étant de plus en plus densément occupées elles doivent penser à de nouvelles solutions afin d’offrir plus d’espaces à usage sportif.

Parmi ces solutions on pense à des espaces et à des salles de sport multidisciplinaires, qui représentent une solution d’avenir pour la pratique sportive en ville.

La crise du coronavirus a été un révélateur et une forme d’opportunité pour ces villes en soutenant des projets liés au réaménagement de leur territoire afin de créer des espaces multifonctionnels qui puissent servir à l’expression corporelle mais aussi à la gestion d’une crise humanitaire. Autant d’opérations à faible coût, rapidement mises en place, efficaces dans un nouveau cycle économique solidaire pilier du développement local.

Sepak Takraw : un sport typique du Laos qui arrive en Europe

Le terme « sepak », utilisé en Asie, signifie « coup de pied », tandis que le terme « takraw » signifie « balle tressée ». Convivial et bon marché, ce qui en fait un sport « loisir » extrêmement populaire pour les populations rurales du sud-est asiatique, le jeu se déroule sur un terrain de badminton. La partie oppose deux équipes de trois joueurs qui se renvoient la balle avec le pied ou la tête consiste à faire passer une balle au-dessus d’un filet, en utilisant toutes les parties du corps, excepté les bras et les mains. Traditionnellement, la balle est faite en bambou tressé ou en rotin.

L’esprit de communauté, valeur importante pour les Asiatiques, se manifeste dans ces échanges. La compétition n’est pas la priorité. Le takraw est une pratique de vivre-ensemble autant qu’une expression de bien-être.
En 1996, est créé l’ISTAF (International Sepak Takraw Federation), qui permet d’institutionnaliser cette activité sportive et de la faire reconnaître au niveau international. Ainsi, l’Association française de sepak takraw a été créée en 2003. Il y a actuellement cinq clubs de sepak takraw dans ce pays : Schiltigheim, Stasbourg, Évry, Toulouse et Les Herbiers pour un total d’environ 100 pratiquants réguliers. Depuis 10 ans, chaque année, on organise l’Open de France avec les meilleures équipes d’Europe et quelques équipes asiatiques.

Algérie : Ouargla accueille la première académie de développement de la natation féminine

La ville algérienne Ouargla accueille la première académie de développement de la natation féminine dans le sud de l’Algérie, avec un financement de la Fédération internationale de natation, suite à l’acceptation du dossier de projet proposé par la Fédération algérienne de natation en 2019.

Une vraie gageure car Ouargla, est situé dans le sud-est de l’Algérie aux portes du Sahara. À environ 800 km d’Alger, la capitale du sud algérien a poussé au milieu du Sahara. Vers l’ouest, la route nationale 49 mène à Ghardaïa ; vers l’est, à Hassi Messaoud. Entre les deux, des dunes, des palmeraies, des petits lacs et des champs pétrolifères. La ville dispose d’une association sportive active qui participe périodiquement à des compétitions nationales avec un grand nombre d’athlètes.

Le président du Comité pour le développement de la natation dans le grand sud algérien, Abdelhalim Ouled Himouda, a déclaré que la natation est un sport récent dans le grand sud, qui a abouti à la découverte de certains jeunes talents.

Le comité spécialisé commencera ses travaux directement après le déconfinement, notant que ce projet ambitieux comprend la création d’une académie pour le développement de la spécialisation en natation féminine en natation.

Djerba se met dans l’Echec !

Le Forum international des échecs francophones a organisé trois sessions internationales d’échecs sur Internet.
La première session était représentée par le Forum international des échecs francophones, du 7 avril au 4 mai, en coopération avec l’Association internationale des joueurs d’échecs francophones, avec la participation de 5562 joueurs.
La deuxième manifestation concernait le championnat d’échecs en ligne de Djerba en Palestine du 2 au 19 mai, en coopération avec la Fédération palestinienne d’échecs. Quant à la troisième manifestation, qui avait été organisée dans le cadre de la mise en quarantaine de la Tunisie, elle était liée au championnat de Tunis du 10 au 21 mai.
Déjà, le ministère du Tourisme de la Tunisie avait, pour la première fois accueilli le championnat du monde d’échecs sur l’île de Djerba en présence du champion du monde.
Des préparatifs sont en cours pour l’organisation du Forum international des échecs francophones à Djerba du 26 décembre 2020 au 4 janvier 2021 et du Festival international des échecs de Djerba du 29 février au 1er mars 2021.

Sport et villes, un levier de développement en Afrique

L’an dernier, la Coupe d’Afrique des nations a suscité un enthousiasme mondial et une vague de patriotisme africain. D’autres événements sportifs importants ont lieu sur le continent, depuis l’accueil par l’Afrique du Sud de la Coupe du monde de la FIFA 2010 jusqu’à l’accueil par Dakar des Jeux Olympiques de la Jeunesse d’été 2022.

Les pays africains s’adaptent pour tirer parti des opportunités économiques associées aux événements sportifs mondiaux. La Côte d’Ivoire a une loi pour améliorer la gouvernance du sport, le Togo a accueilli le premier Forum africain du sport et le Sénégal a inauguré plusieurs installations sportives de classe mondiale, dont un stade olympique de 50 000 places dans la nouvelle ville de Diamniadio.

À l’échelle mondiale, les sports contribuent pour environ 2% au PIB. Certains pays, comme le Brésil, ont même réussi à faire des événements sportifs un moteur du tourisme. Les événements sportifs internationaux braquent les projecteurs sur les pays hôtes et peuvent générer des bénéfices enviables : par exemple, l’UEFA Euro 2016 a coûté environ 200 millions de dollars à la France, mais a généré près de 1,22 milliard d’euros en retour, dont environ la moitié provient d’une augmentation du tourisme. Et pourtant, à quelques exceptions près, les nations et les institutions multilatérales ont été lentes à adopter des stratégies qui embrassent le sport comme vecteur de développement.

Les nations africaines peuvent jouer un rôle de chef de file. Les composantes sportives doivent être intégrées dans les programmes de développement internationaux et les gouvernements locaux doivent promouvoir l’investissement privé, là où le gouvernement central est le seul fournisseur des équipes nationales. Les fédérations et les ligues scolaires amélioreraient également considérablement les résultats scolaires et pourraient fournir un véhicule pour corriger les déséquilibres des infrastructures régionales et encadrer les populations vulnérables. Mais tous les avantages économiques (dans l’éducation, la création d’emplois, le tourisme, le marketing, etc.) ne seront réalisés que lorsque le sport commencera à être traité comme un marché important.

Montreux dévoile sa nouvelle salle omnisports

Au centre-ville, il manque trois salles de gymnastique pour la rentrée 2021.

Le projet tient compte de l’augmentation des effectifs scolaires liés aux projets immobiliers prévus au-delà de 2021.

En dehors des horaires des cours d’éducation physique scolaire obligatoire, ces trois salles seront mises à disposition des sociétés sportives locales en fin de journée et les week-ends, tous les créneaux étant actuellement complets. Le nombre d’associations sportives est en constante augmentation (70 à la fin 2019). Elles comptaient 2352 juniors âgés de 5 à 20 ans en 2018 contre 1794 il y a dix ans. La nouvelle salle triple permettra d’offrir chaque semaine 50 heures supplémentaires en soirée pour les clubs. Le week-end, cette infrastructure soulagera les clubs et organisateurs de compétitions sportives en complément de la salle omnisports du Pierrier, proche de la saturation.

Imposant, le futur complexe de deux niveaux s’étendra sur l’emplacement du terrain de sport extérieur existant, lequel sera déplacé. Une construction judicieuse à deux pas de la vieille ville. L’édifice sera construit en dessus des deux tunnels ferroviaires. Ce qui a compliqué les études pour aboutir à une solution acceptable pour les compagnies de chemins de fer. Le bâtiment n’aura pas de sous-sol et sera posé sur des pieux forés disposés sous le rez-de-chaussée afin de répartir la charge autour des tunnels. Au chapitre de l’esthétique, les deux tiers des façades du complexe seront couvertes d’un bardage en bois de la commune pré-vieillis naturellement, alors que la toiture sera recouverte de végétation extensive. Avec l’aval du Conseil communal, les travaux devraient être lancés en juillet et s’achever en août 2022.

Le ninepin bowling classic d’Alsace et de Bourgogne

Le Nine pin Bowling Classic est une pratique sportive très développée en Alsace, en Bourgogne, en Allemagne et en Europe centrale. Elle consiste à faire tomber un maximum de quilles parmi celles disposées sur la piste, en 30 lancés de boules. La partie se déroule en 2 épreuves : 15 lancés en jeu plein, 15 lancés en déblayage. Dans le jeu plein, le joueur tente à chaque lancé de faire tomber un maximum de quilles. Au premier jet, elles sont comptabilisées puis toutes réinstallées pour le second jet. Dans le jeu de déblayage, le joueur tente également à chaque lancé de faire tomber toutes les quilles mais, à la différence du jeu plein, d’un jet sur l’autre, les quilles tombées ne sont pas remises en jeu. Dès qu’il n’y a plus de quilles, elles sont réinstallées sur la piste, et ce jusqu’à épuisement des 15 lancés. Le gagnant est celui ayant totalisé le plus de points au terme des deux épreuves, sachant que chaque quille tombée vaut un point. A ce total s’ajoute cependant des points de 4 types : les points joueurs, les points équipes, les points bonus et les points match. Les points joueurs sont attribués au joueur ayant fait plus de points que son adversaire direct. Pour une équipe, on additionne les points joueurs de chaque membre de l’équipe. Les points équipes sont attribués à tout joueur ayant obtenu plus de 2 points joueurs. Les points bonus, au nombre de 2, sont attribués à l’équipe ayant fait tomber le plus grand nombre de quilles lors de la partie. Les points match enfin, sont attribués à l’équipe totalisant le plus de points équipes.

Les 9 quilles sont hautes de 40 cm, pour un diamètre de 100 mm et un poids de 1,660 kg, à plus ou moins 30 grammes tolérés. La quille centrale, le Roi, mesure 43 cm. Sur la piste, elles sont disposées en carré et en diagonale, à 50 cm l’une de l’autre, sur un carré d’1 m de côté, et à 35 cm de l’extrémité du plateau de réception. La boule est pleine, sans trou. Elle pèse de 2,8 à 2,9 kg pour un diamètre de 16 cm pour des adultes. Pour les enfants, elles mesurent 14 cm de diamètre et pèsent de 1,89 à 1,92 kg. Le Nine pin Bowling Classic se déroule dans un quillier. Pour la majorité, ils comportent quatre pistes en parallèle. Chaque piste est constituée d’une aire d’élan, de la zone de roulement de la boule, d’un plateau et d’une fosse de réception. Elle est longue de 27,25 m. L’aire d’élan mesure 6,5 m de long sur 1,70 m de large ; elle comporte un plateau de départ, de 35 cm de large sur 5,5 m de long, sur lequel la boule doit absolument être posée. Puis vient la piste de roulement, longue de 19,5 m, sur laquelle le joueur ne peut poser le pied. Au bout de cette piste de roulement se trouve le plateau de réception, espace où les quilles sont posées. Derrière lui, une fosse de réception constitue le réceptacle des quilles renversées.

Karine Michel (Anthropologue)