Catégorie : Actualité

L’événement « SHOOT 4 INCLUSION » s’est déroulé le 02 mars au BK Arena à Kigali. Huit équipes, composées de quatre hommes et quatre femmes, ont participé à des matchs de basket en fauteuil. Cet événement vise à promouvoir l’inclusion sociale au Rwanda.

 « SHOOT 4 INCLUSION » revêt une importance particulière dans la consolidation de l’inclusion sociale dans le pays. En permettant la participation de personnes de différents horizons et capacités, cet événement démontre l’engagement envers l’égalité et la diversité. Il favorise la sensibilisation autour des défis auxquels font face les personnes en situation de handicap et encourage la société à adopter une attitude plus inclusive.

 Au-delà du simple aspect sportif, ces matchs de basket en fauteuil offrent une plateforme pour l’échange, le respect mutuel et la célébration des différences. Ils contribuent à briser les barrières sociales et à promouvoir la compréhension entre les individus de tous horizons.

 En soutenant et en participant à de telles initiatives, la communauté rwandaise renforce les valeurs d’inclusion et de solidarité, créant ainsi un environnement où chacun, quel que soit son arrière-plan ou ses capacités, peut s’épanouir et contribuer pleinement à la société.

Mouscron, en Wallonie, se distingue une fois de plus en tant que pionnière dans la promotion de la pratique sportive pour tous. Avec son école des sports déjà reconnue dans la région, voire en Belgique, la municipalité franchit une nouvelle étape en annonçant le lancement d’une filière dédiée au cyclisme, ajoutant ainsi une corde supplémentaire à son arc sportif déjà bien fourni.

 Cette initiative démontre l’engagement de Mouscron envers le développement et l’accompagnement des jeunes sportifs. En offrant une formation spécifique dans des disciplines telles que le football, le futsal, le water-polo, le judo et désormais le cyclisme, la ville ouvre de nouvelles perspectives aux jeunes talents locaux.

 Le rôle des villes dans la promotion du sport ne peut être sous-estimé. En investissant dans des infrastructures sportives de qualité et en proposant des programmes de formation adaptés, les municipalités comme Mouscron favorisent l’épanouissement des individus et renforcent le lien social au sein de la communauté.

 Avec cette nouvelle filière cycliste, Mouscron confirme son statut de référence en matière de formation sportive et continue d’inspirer d’autres villes à suivre son exemple pour le bien-être de tous.

Ce dimanche 03 mars, à Sakiet Sidi Youssef (Nord-ouest de la Tunisie) la consécration du droit de la femme rurale à la pratique sportive marque un tournant significatif dans l’histoire locale. La 2ème étape de la semaine olympique de la femme sportive a offert une plateforme d’expression et de participation à plusieurs activités ouvertes à tous, telles que le cyclisme et des courses de différentes distances.

 L’organisation de cet événement par la direction régionale de la ville du Kef en collaboration avec le comité olympique tunisien démontre l’engagement envers l’égalité des genres dans le sport et le développement local. La participation active des femmes rurales dans le domaine sportif revêt une importance capitale pour le progrès social et économique des communautés.

 La contribution féminine dans le sport ne se limite pas à la simple pratique, mais elle englobe également des aspects sociaux, culturels et économiques. En encourageant les femmes rurales à s’engager dans des activités sportives, on favorise leur autonomisation, leur estime de soi et leur leadership au sein de leur communauté.

 En consacrant le droit de la femme rurale à la pratique sportive, Sakiet Sidi Youssef et le Kef ouvrent la voie à un avenir plus inclusif et équitable, où chacun, indépendamment de son genre ou de son milieu, peut contribuer au développement de sa communauté et s’épanouir pleinement.

Quand nous parlons de diplomatie viennent à l’esprit les notions d’habileté, de tact, dans la gouvernance. Et nous lui associons toujours des relations entre les Etats, la diplomatie ayant la mission de résoudre un différend inattendu ou structurel.

Pour conforter cette démarche, la diplomatie des maires porte au niveau local et dans les réseaux de villes cette volonté de pacifier les rapports entre citoyens et entre collectivités issues de pays en crise.

Mais cette extension de la notion de diplomatie va plus loin avec, notamment, la diplomatie de santé ou la diplomatie sportive. Cette extension se rattache au pouvoir d’influence d’un Etat à l’international. Avec des démarches concrètes qui soutiennent la diplomatie.

Qu’en est-il réellement pour le sport ?

Il est une opinion commune qui considère que la stimulation économique, le développement des infrastructures et la promotion du tourisme, par l’organisation de méga-événements sportifs de portée internationale, mettent en évidence le rôle du sport dans la réputation et l’influence d’une ville et d’un Etat. Paris, Abidjan, Kinshasa, Qatar et bien d’autres en portent témoignage.

Pour les nations comme pour les villes, le sport entre dans leur héritage culturel et devient, par le message national et local qu’il porte, un outil d’influence, c’est-à-dire une nouvelle forme de diplomatie, qui rejoint notamment celle de la santé. Ainsi, le sport est un acteur sociétal, un facteur de cohésion national et local, il est aussi une source de revenu pour les marques qui pratiquent le sponsoring et, à présent, il a acquis une fonction géopolitique. On peut, par exemple, rattacher à cette démarche le financement par la Chine de stades dans les villes africaines. 

Mais cette influence s’inscrit-elle sur le long terme ? Les manifestations sportives internationales de grande ampleur peuvent-elles faire oublier la stabilité ou la situation économique d’un pays ? Peuvent-elles à elles seules représenter le patrimoine d’une ville ? Quelles conséquences attendre, si ces manifestations mettent en exergue les conditions sociales contestables auxquels sont soumis celles et ceux qui contribuent à l’édification des infrastructures ? Comment parler d’influence, de diplomatie a moyen et long terme, si les perceptions négatives du pays ou de la ville ne sont pas corrigées ?

En revanche, si l’image de la ville et du pays bénéficie de perceptions antérieures positives, alors la diplomatie sportive, comme toute diplomatie, s’inscrira sur ce socle pour devenir un facteur d’influence et une nouvelle culture. 

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• ZOOM sur le taekwondo, La nouvelle mine d’or de la Côte d’Ivoire
• RENCONTRE avec l’escrimeuse sénégalaise Ndeye Bineta Diongue + carnet pratique exclusif !
• Enquête : TESTOSTÉRONE – Pas assez femmes aux yeux des instances sportives !
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• Jeux de la Francophonie / Rencontre avec ZEINA MINA « Si l’on veut parler français dans le monde du sport, il faut que les acteurs du sport soient formés en français ! »
• Découverte – IWALEWA : Routine de flemmardes, produits sourcés et bienvenue en Europe 

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L’association Better Life Youth Association a inauguré le tournoi inter-établissements de football “Bal-Iyalna” à Diguel, dans le 2e arrondissement de Ndjamena. Cette compétition, qui s’est déroulée début mars, et elle a offert aux établissements scolaires de la capitale tchadienne une opportunité de se mesurer sur le terrain du football.

 “Bal-Iyalna”, qui signifie littéralement “football pour nos enfants” en arabe local du Tchad, incarne l’esprit de ce tournoi inter-établissements. Huit équipes compétitives, composées d’élèves âgés de 6 à 12 ans, ont été sélectionnées parmi différents établissements scolaires de Ndjamena pour participer à cette compétition.

 Le tournoi est bien plus qu’une simple compétition sportive : il vise à favoriser le brassage des jeunes, à encourager les échanges et à tisser des liens d’amitié durables entre les participants. Selon Abakar Brahim, Chargé des affaires extérieures de l’association, cet événement sportif est également une occasion de promouvoir des comportements positifs au sein de la jeunesse et de la communauté dans son ensemble.

 L’initiative de Better Life Youth Association s’inscrit dans une volonté plus large de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des Tchadiens, en ligne avec les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. En mettant l’accent sur le sport et la cohésion sociale, le tournoi “Bal-Iyalna” aspire à être un catalyseur de changement positif dans la société tchadienne.

La 3e édition du Marathon Be The Best a animé les rues de Cotonou le 18 février 2024, attirant des participants de 21 nations différentes. Sous le thème « Femme, santé et environnement », l’événement a célébré la diversité et l’inclusivité du sport.

 Les courses, allant de 5 à 42,195 km, ont vu émerger des champions comme Richard Kweitu et Bertille Djerikou. Leur performance incroyable a inspiré la foule présente.

En récompensant l’excellence sportive, le Marathon Be The Best a encouragé une culture de vie active et saine. Cet événement a renforcé l’image de Cotonou en tant que ville dynamique et ouverte au sport.

 Le Marathon Be The Best n’était pas seulement une compétition, mais une célébration de la diversité et du potentiel humain. Il a illustré le rôle vital du sport dans le développement individuel et collectif de la ville.

Le 25 février, l’atmosphère vibrante du Carthage Marathon a envahi les rues de cette ville historique, offrant aux participants une expérience unique mêlant sport, tourisme et histoire. Avec ses deux catégories, le semi-marathon de 21 km et le 10 km, l’événement a attiré une foule enthousiaste, prête à relever le défi sportif tout en découvrant les trésors cachés de Carthage.

Capitale de l’ancien empire qui s’opposa à celui de Rome, Carthage est bien plus qu’un simple site historique. C’est un témoignage vivant de l’histoire ancienne et un joyau touristique à découvrir. Le marathon offre ainsi une occasion exceptionnelle de redécouvrir la ville et son potentiel historique, tout en s’adonnant à une activité sportive passionnante.

 L’événement a été une grande réussite, marqué par la participation massive de personnes venues de tous horizons. Des coureurs chevronnés aux amateurs enthousiastes, tous ont convergé vers Carthage pour vivre cette expérience unique. 

Au-delà de l’aspect sportif, le marathon a également permis de mettre en lumière l’histoire riche et fascinante de Carthage. Les participants ont eu l’opportunité de parcourir les rues empreintes d’histoire, de découvrir les vestiges antiques et d’explorer les sites emblématiques de la ville, ajoutant une dimension culturelle et éducative à l’événement.

Le lycée Joseph Ambourouet Avaro de Port-Gentil s’est particulièrement animé avec le coup d’envoi du Championnat Scolaire et Universitaire (CSU). Cette compétition réunit 50 établissements pour une période de deux mois, mettant en lumière diverses disciplines sportives et artistiques.

 L’objectif principal du CSU est de détecter de jeunes talents émergents, encourager la compétitivité saine et promouvoir l’esprit sportif et éducatif au sein de la ville. Avec trois étapes prévues – interclasses, inter-établissements et nationale – les élèves ont l’occasion de s’illustrer dans des disciplines variées telles que le football, le basket-ball, la danse, et bien d’autres.

 La ministre Ntoutoume a souligné l’importance de cette initiative pour donner aux jeunes la possibilité de s’épanouir à travers le sport et les activités artistiques. Elle a exhorté les participants à donner le meilleur d’eux-mêmes et à saisir cette opportunité pour se distinguer au niveau local, puis national.

 Le CSU à Port-Gentil dépasse le cadre d’une simple compétition sportive : c’est un événement qui unit la ville autour de valeurs de compétition, de coopération et de développement personnel pour la jeunesse.

Compte tenu de la situation qui prévaut au Mali, le rallye a pour ville d’arrivée Freetown. Le circuit long de 9000kms passe par l’Italie, la France, l’Espagne, le Maroc, la Mauritanie la Guinée et la Sierra Leone. Ce plus grand rallye de voitures amateurs du Monde est aussi le plus grand événement humanitaire d’Afrique. Cette année le public a été sensibilisé à l’autisme. 

Dans ce circuit, la ville de Labé en Guinée a vécu pour la troisième édition le passage de cet événement qui a attiré 670 touristes, accompagnés d’une impressionnante logistique comprenant 287 engins. 

 Contrairement aux années précédentes, cette fois-ci, des camions et des gros porteurs ont également rejoint le cortège, enrichissant ainsi la diversité des participants.

 Initialement prévue pour passer par le Mali, l’équipe a dû modifier son itinéraire en raison de la vétusté de la route. Les camions ont contourné par Koundara pour rejoindre Labé. 

 Cet événement a été marqué par la présence majoritaire de touristes européens, offrant ainsi une dimension internationale à Labé. La ville a su démontrer sa capacité à accueillir un événement d’envergure et à fournir les infrastructures nécessaires pour assurer le confort et la sécurité des participants