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Hammamet : La Fédération tunisienne de judo aux Jeux Olympiques de Tokyo.

Face aux restrictions sanitaires strictes mises en place en Tunisie, et à l’approche des premières qualifications pour les JO lors du Championnat d’Afrique de judo du mois d’avril organisées au Maroc, les athlètes tunisiens mettent toutes les chances de leurs côtés.

Anis Lounifi, entraîneur, a rappelé : « Nous sommes maintenant dans un camp à Hammamet pour deux semaines. Notre programme est d’avoir un cours en Ouzbékistan le 3 mars et ensuite, nous allons en Géorgie. Fin mars, nous participons au grand chelem de la Turquie. Au prochain Ramadan, nous avons un camp de deux semaines en France. Puis, la Ligue des champions africains au Maroc, le Grand Chelem à Paris, le Championnat du monde à Budapest, et ensuite un camp de trois semaines au Japon avant les Jeux olympiques de Tokyo ».

Dans ce camp d’entraînement ou port de masque obligatoire et respect du couvre-feu sont imposés, les athlètes peuvent s’entraîner deux fois par jour. Ils sont déjà concentrés sur leurs objectifs, à cinq mois de la grande compétition des Jeux Olympiques.

Aux masters de Doha en janvier dernier, la médaille de bronze de Nihel Cheikhrouhou obtenue dans sa catégorie de 78kg fait d’elle la meilleure chance de médaille pour la Tunisie à Tokyo. Cet espoir a encouragé la Fédération tunisienne de judo à allouer des fonds importants pour aider à la préparation des Jeux.