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L’Algérie a déposé sa candidature pour organiser la Coupe d’Afrique des Nations de football 2025 auprès de la Confédération africaine de football (CAF) qui a retiré l’organisation du tournoi à la Guinée, n’étant pas prête à organiser l’événement continental.

Le ministre algérien de la Jeunesse et des Sports, Abderrazzak Sebakk, a annoncé la candidature de son pays pour organiser ce grand rendez-vous footballistique.

« Il est temps pour l’Algérie d’organiser de grandes compétitions, et nous allons préparer le dossier de candidature pour la CAN 2025 », a déclaré Sebakk.

Il a ajouté « La délégation de la CAF a exprimé son admiration pour les structures et les installations existantes en prévision du Championnat d’Afrique des Nations des joueurs locaux qui se tiendra en Algérie en janvier prochain, ce qui correspond presque au mandat de la Coupe d’Afrique des Nations ».

L’Algérie a démontré dans un passé récent sa réussite dans l’organisation de grands événements, tels que les Jeux méditerranéens (Oran-2022), les Championnats arabes de natation et les Championnats d’Afrique de judo. Tout cela pourrait favoriser le dossier algérien pour l’organisation de la plus prestigieuse des compétitions de football en Afrique.

Le Stade de l’Amitié de la ville Kamsar (Guinée) infrastructure sportive d’une capacité de plus de 5 000 places a été entièrement rénovée par la Direction de la Compagnie des Bauxite de Guinée (CBG) .

 L’inauguration s’est déroulée en présence du ministre des Sports de la Guinée Lansana Béa Diallo, des autorités régionales, des préfectures de Boké, de la mairie de Kamsar, des responsables de la CBG et de la population de Kakandé.

 Pour Djibril Fugence Bangoura, deuxième adjoint au maire de Kamsar, cette infrastructure sportive, moderne, unique dans la région de Boké, permet aux clubs locaux d’accueillir des matchs à domicile. 

Ce stade favorisera également l’accueil des matches du championnat guinéen pour les clubs de Boké qui ont un besoin urgent d’infrastructures sportives comme le Wakriya AC ou encore l’Association Sportive des Mineurs de Sangarédi.

La ville de Montréal vient d’adopter une motion afin de reconnaître l’importance du basketball dans la métropole. Partout, à Montréal, ce sport gagne en popularité a déclaré la mairesse Valérie Plante lors de la séance du conseil municipal. 

Depuis plus d’un siècle Montréal est une ville de hockey. En effet, en plus d’être le sport national, le tout premier match intérieur de hockey a été joué, à Montréal, le 3 mars 1875. Depuis, au fil des époques, les Glorieux ont marqué l’histoire collective, avec Maurice Richard, Jean Béliveau, Guy Lafleur et bien d’autres.

Devant cette véritable religion, il a toujours été difficile pour tout autre sport de se tailler une place dans le cœur des Montréalais.

Depuis, le portrait démographique du Québec et surtout de Montréal s’est métamorphosé. Le Montréal aujourd’hui est drastiquement différent de celui des années 70. Les vagues d’immigration, le vieillissement de la population ont modifié les différentes habitudes de vie.

Allez voir un match de basketball c’est un évènement, un spectacle. L’ambiance exaltante encouragée par la musique, les pauses animées parfois par un meneur de foule, parfois par une troupe de danse, pas une seule minute sans qu’il se passe quelque chose.

Le porte-parole du gouvernement ivoirien Amadou Coulibaly a annoncé le lancement des activités d’Octobre rose, prévues à Abidjan.

Cette journée, qui sera organisée par plus d’une centaine de directions régionales et départementales des différentes villes ivoiriennes, a pour principal objectif d’inciter les participants à s’approprier les vertus du sport pour leur bien-être.

En marge de cette journée, une course à pied de 3 km sera organisée, ainsi qu’une séance de fitness publique dans les centres des villes ivoiriennes.

Les activités d’Octobre Rose du Centre National d’Oncologie Médicale et de Radiothérapie Alassane Ouattara (CNRAO), sont dédiées à la lutte contre le cancer du sein. Une bonne opportunité pour sensibiliser la population sur l’importance de l’activité physique dans la prévention de ce type de maladies.

En moins de cinq ans d’activité, le CNRAO est aujourd’hui, grâce aux efforts du gouvernement, en termes d’équipement, de modernisation du plateau technique et d’accessibilité financière aux traitements contre le cancer, le premier centre de service national de radiothérapie, le premier centre public indépendant spécialisé exclusivement en oncologie en Afrique de l’Ouest francophone, dans le traitement du cancer du sein.

La 4ème édition tournoi local de basketball de la ville de Daloa « Gama Daloa glô » se tiendra officiellement du 3 au 5 novembre 2022 au Lycée Moderne II de la ville ivoirienne. Ce tournoi doit rassembler tous les jeunes de la ville de Daloa autour du basketball pour vulgariser la pratique de cette discipline.

 « Cette 4ème édition verra la création de la catégorie Kids et le renforcement de la catégorie féminine, des dons et actions caritatives, un spot géant et le tournoi scolaire prévu le 28 octobre », précise Pierre Célestin Bohoui, promoteur de l’événement.

Une trentaine d’équipes de 15 personnes venues d’Abidjan, Man, Daloa, Gagnoa, San Pedro, Bouaké, Yamoussoukro et des pays voisins, s’affronteront dans toutes les catégories.

 À la fin de la journée, les vainqueurs seront récompensés et cela créera une émulation autour de la balle dans le panier, surtout dans cette ville qui a vu naître et évoluer de grands sportifs.

 Quelques jours après le tournoi, un défilé se tiendra dans la ville pour « la mobilisation des populations en présence des autorités administratives, coutumières et religieuses » de la cité des antilopes.

En Côte d’Ivoire, les travaux de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN), qui se déroulera en janvier et février 2024 en Côte d’Ivoire se poursuivent.

 Prévue pour la première fois du 23 juin au 23 juillet 2023, la compétition a été reportée pour début 2024, officiellement en raison de problèmes météorologiques. En effet, en milieu d’année, la Côte d’Ivoire est soumise à de fortes pluies, exposant le pays à un fort risque d’inondation. Par ailleurs, le report de la compétition, dont la phase de qualification s’achèvera en mars 2023, devrait avoir pour effet de limiter les retards en allongeant les délais de livraison des infrastructures nécessaires.

 Cinq villes ont été choisies pour accueillir cette CAN : Abidjan, la capitale économique, Yamoussoukro, la capitale politique, la grande ville de Bouaké, San Pedro, deuxième port du pays, et Korhogo, située au nord du pays. Au total, sur six chantiers, cinq ne sont pas complètement terminés. Seul le stade olympique de Yamoussoukro, d’une capacité de 20 000 personnes, est déjà opérationnel et accueille des matches internationaux. Les autres, les stades Houphouët-Boigny (40 000 places) et Ébimpé (60 000 places) à Abidjan, et ceux de Bouaké (40 000 places), San Pedro (20 000 places) et Korhogo (20 000 places), sont en voie d’achèvement.

 L’architecture de ces infrastructures sportives, malgré leurs capacités limitées, n’a rien à envier à celles des pays européens. Les responsables de la CAF continuent à se rendre au pays pour vérifier l’avancement des travaux et la qualité des terrains. 

Bordeaux Métropole participera aux jeux olympiques de Paris 2024 comme « Collectivité Hôte » du tournoi olympique de football. Des équipements sportifs de la Ville sont également labellisés pour accueillir les athlètes tout au long de leur préparation.

Mais, d’une manière générale, le territoire métropolitain est d’ores et déjà fortement engagé dans l’accompagnement des Jeux Olympiques et Paralympiques puisque depuis 2020 Bordeaux Métropole bénéficie avec 10 communes de la Métropole, dont Bordeaux, du label « Terre de Jeux 2024 », au travers duquel les collectivités s’engagent à faire vivre le sport et les valeurs olympiques afin de préparer l’arrivée des Jeux en 2024.

La métropole accueillera au stade Matmut Atlantique, entre le 24 juillet et le 10 août 2024, au moins 6 matchs du tournoi féminin et masculin de football de l’événement sportif le plus important au monde.

Plusieurs autres sites sont retenus, le vélodrome de Bordeaux-lac, pour le cyclisme sur piste olympique et paralympique, la salle André-Labatut, pour l’escrime et l’escrime fauteuil, la salle Guy-Laupies, pour l’escrime fauteuil, le stade Bel Air, pour le hockey sur gazon, la Villa Primrose pour le tennis et le skatepark des Chartrons, réhabilité entièrement en 2022.

L’îlot M’Bouz

La pirogue – laka – occupe une place à part entière dans le patrimoine de la ville, et la course organisée le dimanche 16 octobre, va la célébrer. Trois départs successifs seront donnés entre 9h et 11h30, concernant dans l’ordre la course des enfants (de 14 à 17 ans), la course des adultes ainsi que la course des entreprises. Si pour la première catégorie, il s’agit de parcourir environ 600 mètres, pour les autres, le circuit a une distance de 3 kilomètres. Chacune des courses, accueillant 30 équipages, sera chronométrée afin de pouvoir établir un record et encourager les participants à donner le meilleur d’eux-mêmes.

Compte tenu de l’ampleur de la manifestation sportive et du nombre de participants, la municipalité du chef-lieu entend déployer un important dispositif de sécurité en mer. Au total, 4 bateaux de sécurité et autant de jets-ski, une embarcation de la SNSM et des pompiers ainsi que deux embarcations de la gendarmerie seront mobilisées. Cet événement s’inscrit dans une manifestation ayant vocation à sensibiliser le public à la protection de l’environnement et à la valorisation de l’économie bleue. Ainsi, la veille, la municipalité organisera une opération de récupération des déchets sur le front de mer avec les associations environnementales de Mamoudzou et autour de l’îlot Mbouzi, en partenariat avec les clubs de plongée sous-marine. Le lendemain, en marge de la compétition, une foire située aux abords du marché couvert de Mamoudzou accueillera une vingtaine de stands d’associations, d’acteurs économiques du lagon ainsi qu’un artisan spécialisé dans la fabrication des pirogues traditionnelles mahoraises. 

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 Plus de 120 jeunes âgés de 12 à 15 ans, ainsi que 30 entraîneurs qui ont bénéficié du camp Junior NBA qui a eu lieu dans la ville rwandaise de Rwamagana .

 Le Jr. NBA Camp s’inscrit dans le cadre d’un partenariat entre NBA Africa et Fédération rwandaise de Basketball (Ferwaba).

Le principal objectif de ce camp consistait à travailler avec les enfants au niveau local, à améliorer leurs compétences tout en travaillant avec des entraîneurs et en les dotant des outils nécessaires pour bien retourner à l’école.

« Pour les enfants, je pense que c’est une énorme opportunité, ils viennent de différentes villes du Rwanda, nous avons 43 écoles du Rwanda qui se réunissent à Rwamagana et ils apprennent les compétences fondamentales du basketball, comment passer, dribbler et tirer et ils se font aussi de nouveaux amis parce qu’il y a des gens qu’ils n’ont jamais rencontrés auparavant. Je pense que c’est une opportunité pour eux, non seulement de grandir en tant que basketteurs, mais en tant qu’êtres humains. » a déclaré Joel Yoba, coordinateur général des camps de développement du basketball à la National Basketball Association (NBA).